Les tables sont un endroit approprié pour étudier, se détendre, manger ou parler de tout et de rien. Sur ce meuble à quatre pieds, on apprend également à partager l'émotion et le risque sur un damier régi par le hasard et les revirements inattendus de la fortune.

Quand il était enfant, le poète Joan Brossa passa de très bons moments avec le jeu « Adivino Mágico » (le devin magique), fabriqué par Agapit Borràs de Mataró, en 1920. La combinatoire circulaire du jeu rappelle les cercles décrits par le philosophe médiéval Raymond Lulle.

Dans de nombreux foyers français, « Le cochon qui rit » dont nous avons un exemplaire de 1930, fut très à la mode. Le gagnant était le joueur qui avait la chance de compléter le premier le corps d'un cochon.

Pour imiter les alpinistes les plus audacieux, sans souffrir de vertiges ou de risque de gel, il était préférable d'utiliser les jeux de société « Ascensión al Everest » (Ascension de l'Everest) ou « El Campeón excursionista de Montserrat » (Le champion de randonnée de Montserrat).

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